● Accueil des jeunes femmes à l'internat, un cadre sain et sûr avec de la nourriture pour le petit-déjeuner
terminer chaque jour.
● Des conditions d'études qui facilitent la réalisation :
soutien scolaire, environnement et matériel propices à études.
● Aide aux devoirs avec des éducateurs qualifiés
● Environnement et matériel propices aux études dans un environnement confortable
● Thérapies alternatives pour libérer les traumatismes (chanson, danse, théâtre...)
● Réduire le taux d'abandon des adolescents de niveau secondaire et exploitation par le travail des enfants
dans les mines du Cerro Rico de Potosí, qui oscillent entre 11 et 16 ans, inculquant un développement social et intégral des bénéficiaires.
● Éradiquer le travail des filles grâce à l'éducation
● Permettre aux jeunes femmes de poursuivre leurs études lycée restant près de l'école
● Développer le leadership des filles
Parce que?
● Parce que l'école est la seule chance de sortir des pires conditions de travail dans les mines.
● Beaucoup de filles de la colline ont un destin de palliras et gardes-mines...
Et ils n'ont pas la possibilité d'étudier.
● Abandon scolaire dû à l'éloignement de ses mines aux écoles secondaires, les filles devraient marcher 2 heures pour aller à l'école exposé à les agressions, les dangers des gouffres
sur la colline....
Comme annoncé précédemment, l’Association Essentiel a décidé début 2020 de financer un magnifique projet en Bolivie réalisé par l’Association Voix Libres à Genève (lancement d’un internat pour des jeunes filles dont les parents travaillent dans les mines du Cerro Rico situées près de Potosi, à 4’500 mètres d’altitude dans les Andes boliviennes). Ce projet, lancé juste avant le confinement COVID-19 en Bolivie, a malheureusement dû être interrompu très rapidement à cause de la pandémie.
Nous sommes très heureux d’annoncer que l’Association Essentiel finance depuis ce printemps un magnifique projet en Bolivie réalisé par l’Association Voix Libres à Genève. Il s’agit du lancement d’un internat pour des jeunes filles dont les parents travaillent dans les mines du Cerro Rico situées près de Potosi, à 4 500 mètres d’altitude dans les Andes boliviennes.